Le contentement d'être
Le contentement d'être
Contient la joie
Et l'absence de joie.
Il contient la vie entière,
Toute les émotions,
Toutes les sensations,
Ce que vous aimez,
Et ce que vous n'aimez pas,
Le confort et l'inconfort,
La joie et la tristesse.
Ce n'est pas toujours simple à envisager.
Nous le confondons avec une acceptation,
Ou un abandon de quelque chose,
Qui trop souvent se situe uniquement au niveau mental.
Nous pensons souvent que la félicité viendra
Lorsque tout sera stable en nous,
Les émotions, les sensations, la joie, la tranquillité,
Ou bien lorsque les difficultés disparaitront.
Il nous est souvent difficile d'imaginer,
Que l'on puisse être agité, triste,
Et en même temps content d'être là, en vie.
Juste content.
Alors oui, cela vient d'une acceptation, d'un abandon,
Mais qui ne vient pas du mental,
Qui ne vient pas d'une décision.
Le contentement se dévoile un beau matin,
Parce qu'une grande partie du refus,
Et de nos stratégies pour éviter la vie,
A été vu en nous-même.
Nous avons eu le courage, jour après jour,
De faire face à ce refus.
Refus de la vie,
Des émotions,
Des ressentis,
Des évènements.
Prendre conscience de notre refus,
C'est le dévoiler, le mettre à jour.
Peu à peu le refus va se dissoudre dans notre propre regard intérieur,
Dans notre perception globale.
Puis lorsque le contentement va émerger,
Nous pourrons voir qu'il contient aussi le refus, ou ce qu'il en reste.
Mais celui-ci ne prend plus toute la place,
Il ne voile plus ce contentement d'être en vie,
Qui est en réalité notre état le plus naturel,
Celui du petit enfant juste heureux d'être,
Sans aucun questionnement ni commentaire.
(sur le refus, voir aussi ici)
Contient la joie
Et l'absence de joie.
Il contient la vie entière,
Toute les émotions,
Toutes les sensations,
Ce que vous aimez,
Et ce que vous n'aimez pas,
Le confort et l'inconfort,
La joie et la tristesse.
Ce n'est pas toujours simple à envisager.
Nous le confondons avec une acceptation,
Ou un abandon de quelque chose,
Qui trop souvent se situe uniquement au niveau mental.
Nous pensons souvent que la félicité viendra
Lorsque tout sera stable en nous,
Les émotions, les sensations, la joie, la tranquillité,
Ou bien lorsque les difficultés disparaitront.
Il nous est souvent difficile d'imaginer,
Que l'on puisse être agité, triste,
Et en même temps content d'être là, en vie.
Juste content.
Alors oui, cela vient d'une acceptation, d'un abandon,
Mais qui ne vient pas du mental,
Qui ne vient pas d'une décision.
Le contentement se dévoile un beau matin,
Parce qu'une grande partie du refus,
Et de nos stratégies pour éviter la vie,
A été vu en nous-même.
Nous avons eu le courage, jour après jour,
De faire face à ce refus.
Refus de la vie,
Des émotions,
Des ressentis,
Des évènements.
Prendre conscience de notre refus,
C'est le dévoiler, le mettre à jour.
Peu à peu le refus va se dissoudre dans notre propre regard intérieur,
Dans notre perception globale.
Puis lorsque le contentement va émerger,
Nous pourrons voir qu'il contient aussi le refus, ou ce qu'il en reste.
Mais celui-ci ne prend plus toute la place,
Il ne voile plus ce contentement d'être en vie,
Qui est en réalité notre état le plus naturel,
Celui du petit enfant juste heureux d'être,
Sans aucun questionnement ni commentaire.
(sur le refus, voir aussi ici)