La méditation est l’état naturel de notre être

La méditation
La méditation n'est pas une pratique, c'est l'état naturel de notre être. Il se dévoile lorsque nous nous rendons disponible, ouvert à ce que nous sommes dans l'instant et que nous nous déposons profondément en nous-même, en notre propre présence.
Plus notre regard se tourne vers notre intériorité et quitte l'attraction pour l'histoire personnelle et pour l'extérieur, et plus cette disponibilité, cet "ouvert" devient accessible, même dans chaque geste du quotidien, chaque moment.
Nous pouvons alors découvrir et explorer en nous cette tranquillité inaltérable qui perçoit le monde, cette présence tranquille que nous sommes naturellement, bien au delà de notre histoire personnelle et mentale.
La méditation n'est pas une pratique, c'est l'état naturel de notre être. Il se dévoile lorsque nous nous rendons disponible, ouvert à ce que nous sommes dans l'instant et que nous nous déposons profondément en nous-même, en notre propre présence.
Plus notre regard se tourne vers notre intériorité et quitte l'attraction pour l'histoire personnelle et pour l'extérieur, et plus cette disponibilité, cet "ouvert" devient accessible, même dans chaque geste du quotidien, chaque moment.
Nous pouvons alors découvrir et explorer en nous cette tranquillité inaltérable qui perçoit le monde, cette présence tranquille que nous sommes naturellement, bien au delà de notre histoire personnelle et mentale.
Pratiquer la méditation
La médiation n'est pas un apprentissage, mais plutôt un déconditionnement de l'attraction de notre conscience pour le discours mental et l'agitation du monde. Un déconditionnement du "faire" pour dévoiler "être". C'est un dénuement, un dépouillement.
Par la pratique de la méditation, nous pouvons découvrir que nous sommes toujours dans l’instant, dans la présence, mais que nous faisons beaucoup d’efforts pour nous en extraire. Il n’y a donc pas d’effort à faire pour être présent, mais il y a au contraire à cesser ces efforts constants pour fuir notre propre présence, pour fuir notre réalité la plus intime, la plus authentique.
Apprendre à méditer, c’est déjà apprendre à percevoir de plus en plus profondément et finement toutes nos stratégies pour éviter notre présence naturelle. Puis apprendre à gouter cette présence de plus en plus finement, jusqu'à nous y déposer et la laisser être.
La méditation contient en elle-même un double mouvement : vers "l'arrière", vers ce qui en nous observe et contient l'expérience, et vers "l'avant" dans un mouvement d'implication et d'intimité totale avec le vécu humain. Ce double mouvement engage l’espace et la profondeur, l’ouverture à l’infiniment grand et à l’infiniment petit, le grossier et le subtil, l’absolu et le relatif, l'immuable et l'impertinent, l'immobilité silencieuse et le mouvement et l'agitation. C’est indispensable car nous sommes tout cela à la fois.
Dans le mariage de ces différents aspects, nous découvrons que nous sommes à la fois ce qui perçoit, ce qui est perçu et la perception elle-même.
La méditation permet alors de dévoiler tous ces niveaux de perceptions et de réalités.
Je propose différentes méditations...
...qui sont chacune des moyens habiles et directs pour retrouver l'état naturel de présence de notre être :
La médiation n'est pas un apprentissage, mais plutôt un déconditionnement de l'attraction de notre conscience pour le discours mental et l'agitation du monde. Un déconditionnement du "faire" pour dévoiler "être". C'est un dénuement, un dépouillement.
Par la pratique de la méditation, nous pouvons découvrir que nous sommes toujours dans l’instant, dans la présence, mais que nous faisons beaucoup d’efforts pour nous en extraire. Il n’y a donc pas d’effort à faire pour être présent, mais il y a au contraire à cesser ces efforts constants pour fuir notre propre présence, pour fuir notre réalité la plus intime, la plus authentique.
Apprendre à méditer, c’est déjà apprendre à percevoir de plus en plus profondément et finement toutes nos stratégies pour éviter notre présence naturelle. Puis apprendre à gouter cette présence de plus en plus finement, jusqu'à nous y déposer et la laisser être.
La méditation contient en elle-même un double mouvement : vers "l'arrière", vers ce qui en nous observe et contient l'expérience, et vers "l'avant" dans un mouvement d'implication et d'intimité totale avec le vécu humain. Ce double mouvement engage l’espace et la profondeur, l’ouverture à l’infiniment grand et à l’infiniment petit, le grossier et le subtil, l’absolu et le relatif, l'immuable et l'impertinent, l'immobilité silencieuse et le mouvement et l'agitation. C’est indispensable car nous sommes tout cela à la fois.
Dans le mariage de ces différents aspects, nous découvrons que nous sommes à la fois ce qui perçoit, ce qui est perçu et la perception elle-même.
La méditation permet alors de dévoiler tous ces niveaux de perceptions et de réalités.
Je propose différentes méditations...
...qui sont chacune des moyens habiles et directs pour retrouver l'état naturel de présence de notre être :
- La méditation assise,
- La méditation en mouvement (Tandava), yoga ancien venu de l'Inde (voir ici "la danse de ma totalité"),
- L''investigation (voir ici "investigation au coeur de l'être")
- Des méditations basées sur l'observation de la respiration et des sensations du corps,
- Des micro-pratiques de présence, à disséminer dans notre quotidien, pour rompre d'une façon puissante les automatismes et le ressassement du mental, et favoriser la pratique au coeur de notre quotidien,
- Des méditations basées sur les sens : l'écoute et la concentration sur les sons, le touché, la vue (en intérieur et en extérieur).