Pensées agitées

Tu me dis : "j’ai trop de pensées".
Voilà ce que je peux te répondre : il y a une réalité qui est que plus notre attention est tournée vers le mental, l’extérieur et nos conditionnements, et plus le mental est agité. Plus notre regard se tourne vers l’intérieur et plus nous nous déposons dans cette intériorité, et moins le mental est alimenté et à de choses à dire.
Mais tu peux voir aussi que plus tu désire ne pas avoir de pensées et plus elles sont présentes et dérangeantes. Elles sont comme des enfants qui veulent pouvoir être libres (ce qu’elles sont), entrer et sortir librement de ton espace intérieur, mais elles se cognent à d’autres pensées qui disent « je ne veux pas de vous ».
Alors vois que c’est comme dans une cours de récré de maternelle, avec tous ces petits enfants qui courent partout. Plus tu en attends le silence et plus c’est le bordel.
C’est cette fragmentation intérieure entre ce qui pense et ce qui ne veut pas penser qui alimentent ainsi notre mental.
Alors la première chose à faire, à mon avis, c’est déjà de voir les pensées réactives : « je ne veux pas penser », « je ne devrais pas avoir toutes ces pensées », « ces pensées ne sont pas spirituelles », « je n’y arrive pas », etc.
Simplement prendre conscience de cela.
Ces pensées ne sont en réalité qu’une opportunité pour rencontrer tes conditionnements, dont celui-ci qui te juge quand tu pense.
Cela permettra déjà d’apaiser cette part de toi et donc une partie de l’agitation de ton mental.
Un mental sans jugement, sans commentaires à propos de comment cela doit être, est la fin de l’agitation.
Ces pensées sont alors une occasion majeure de découvrir que tu es sans pouvoir sur ce qui émerge en toi, quoi que cela soit.
A chaque instant, tout est libre d’émerger et de se créer.
C’est le pouvoir de la source du vivant et ce pouvoir est impersonnel, sans but, sans attentes, sans projet.
Juger ta pensée n’est qu’une tentative de maintenir une illusion de pouvoir personnel sur la vie que tu ne possède pas.
Maintenant, es-tu prêt à reconnaitre que tu n’as aucun pouvoir ?
Alors la pensée devient fraiche, légère, sans poids, silencieuse.
Voilà ce que je peux te répondre : il y a une réalité qui est que plus notre attention est tournée vers le mental, l’extérieur et nos conditionnements, et plus le mental est agité. Plus notre regard se tourne vers l’intérieur et plus nous nous déposons dans cette intériorité, et moins le mental est alimenté et à de choses à dire.
Mais tu peux voir aussi que plus tu désire ne pas avoir de pensées et plus elles sont présentes et dérangeantes. Elles sont comme des enfants qui veulent pouvoir être libres (ce qu’elles sont), entrer et sortir librement de ton espace intérieur, mais elles se cognent à d’autres pensées qui disent « je ne veux pas de vous ».
Alors vois que c’est comme dans une cours de récré de maternelle, avec tous ces petits enfants qui courent partout. Plus tu en attends le silence et plus c’est le bordel.
C’est cette fragmentation intérieure entre ce qui pense et ce qui ne veut pas penser qui alimentent ainsi notre mental.
Alors la première chose à faire, à mon avis, c’est déjà de voir les pensées réactives : « je ne veux pas penser », « je ne devrais pas avoir toutes ces pensées », « ces pensées ne sont pas spirituelles », « je n’y arrive pas », etc.
Simplement prendre conscience de cela.
Ces pensées ne sont en réalité qu’une opportunité pour rencontrer tes conditionnements, dont celui-ci qui te juge quand tu pense.
Cela permettra déjà d’apaiser cette part de toi et donc une partie de l’agitation de ton mental.
Un mental sans jugement, sans commentaires à propos de comment cela doit être, est la fin de l’agitation.
Ces pensées sont alors une occasion majeure de découvrir que tu es sans pouvoir sur ce qui émerge en toi, quoi que cela soit.
A chaque instant, tout est libre d’émerger et de se créer.
C’est le pouvoir de la source du vivant et ce pouvoir est impersonnel, sans but, sans attentes, sans projet.
Juger ta pensée n’est qu’une tentative de maintenir une illusion de pouvoir personnel sur la vie que tu ne possède pas.
Maintenant, es-tu prêt à reconnaitre que tu n’as aucun pouvoir ?
Alors la pensée devient fraiche, légère, sans poids, silencieuse.