Une vérité si simple
Mon message central est très simple, si simple que nous avons souvent du mal à y adhérer : le bonheur est disponible tout de suite.
Il est accessible à tous, tout le temps.
Immédiatement, ici et maintenant.
Sans conditions.
Et c’est là que la longue histoire du bonheur et la triste histoire de la condition humaine commencent.
Car si nous n’y avons pas ou peu accès c’est justement parce que nous lui posons des conditions.
De très nombreuses conditions.
Je serais plus heureux si…
Et aussi quand…
A la condition que …
Quand j’aurai changé, quand je serai spirituel, plus en sécurité, plus riche, plus éveillé.
Quand je serais plus ceci ou plus cela.
Quand ma vie sera plus comme ceci et comme cela.
Quand je n’aurai plus de problèmes, de soucis, etc.
Toute notre vie est alors tournée vers la réalisation de ces conditions.
Notre vie devient une course sans fin vers un ailleurs à venir, un autre part, un autrement.
Pendant ce temps là, le bonheur attend.
Il attend.
Il attend.
Avec une patience infinie, il attend que nous disions « stop »,
que nous arrêtions notre course folle,
que nous cessions cette recherche sans fin.
Pour nous déposer enfin, ici et maintenant, en nous-même,
pour vivre notre vie simplement, sans conditions.
Alors commençons par reconnaitre avec sincérité et honnêteté les conditions que nous posons encore.
Elles ont besoin d’être vues, d’être reconnues et rencontrées.
Et autorisons-nous, même l’espace de quelques secondes, à nous arrêter,
pour juste goûter la vie telle qu’elle se présente, quoi qu’elle soit.
Il est accessible à tous, tout le temps.
Immédiatement, ici et maintenant.
Sans conditions.
Et c’est là que la longue histoire du bonheur et la triste histoire de la condition humaine commencent.
Car si nous n’y avons pas ou peu accès c’est justement parce que nous lui posons des conditions.
De très nombreuses conditions.
Je serais plus heureux si…
Et aussi quand…
A la condition que …
Quand j’aurai changé, quand je serai spirituel, plus en sécurité, plus riche, plus éveillé.
Quand je serais plus ceci ou plus cela.
Quand ma vie sera plus comme ceci et comme cela.
Quand je n’aurai plus de problèmes, de soucis, etc.
Toute notre vie est alors tournée vers la réalisation de ces conditions.
Notre vie devient une course sans fin vers un ailleurs à venir, un autre part, un autrement.
Pendant ce temps là, le bonheur attend.
Il attend.
Il attend.
Avec une patience infinie, il attend que nous disions « stop »,
que nous arrêtions notre course folle,
que nous cessions cette recherche sans fin.
Pour nous déposer enfin, ici et maintenant, en nous-même,
pour vivre notre vie simplement, sans conditions.
Alors commençons par reconnaitre avec sincérité et honnêteté les conditions que nous posons encore.
Elles ont besoin d’être vues, d’être reconnues et rencontrées.
Et autorisons-nous, même l’espace de quelques secondes, à nous arrêter,
pour juste goûter la vie telle qu’elle se présente, quoi qu’elle soit.
